Confidences.....
Difficile pour moi de "remettre le couvert" sur Léo, depuis l'interruption et l'éradication de nos blogs sur AOL.
Je pense que vous l'aurez compris !!!
Seulement voilà : Il y a de nouveaux lecteurs: Peu, mais ils sont là: P’tite marie, Meldix, Patrick, Lou, Roselyne et quelques autres…
Et si je veux respecter cette parole, que je me suis faites, d’abord à moi-même, puis à Léo devant sa dernière demeure…
A savoir :
- « Je veux te "raconter" Léo, même si d’autres, les biographes, le font bien mieux que moi. Te "raconter" avec mes émotions de femme et les mots que me souffle mon cœur.
Et si j’arrive à toucher, ne serait-ce que deux ou trois personnes qui elles ne t’on pas connu pour diverses raisons…
Si je parviens à amorcer quelques dialogues, échanges, ou bien, que cet humble blog en intéresse quelques uns ou quelques unes…
Alors j’aurai ajouté deux trois maillons à la chaîne qui nous unis :
TOI, MOI, TES AMIS que je sais encore nombreux…
Et surtout ce lien que tu à su, TOI, l’artiste, le chanteur, le compositeur musicien… tisser avec ton énorme travail…ton immense solitude : Comme pour exemple : Donner une seconde vie aux poètes, maudits ou non, avec cette volonté insensée, et là je te cite :
« La poésie est une clameur.
Elle doit être entendue comme la musique.
"Il faut faire descendre la poésie dans LA RUE » L.Ferré
- En ce qui me concerne, je reprends l’écriture, mais pas franchement dans l’ordre. Je vais donc procéder en « copiant » des paragraphes sur mes « archives perso » A cela s’ajoutent les petites phrases assassines, acides ou tendres, que Léo se plaisait à parsemer dans ces interviews ou spectacles…
Car, ne perdez pas de vue que :
Selon moi, Léo Ferré était un grand « comédien »
Et fieffé farceur !!
- Je commencerai par cette curieuse citation :
" Mon père se prénommait : Joseph - Ma maman : Marie - Charlotte"....
- La Seconde femme de Léo : Madeleine. Enfin : Marie - Christine, sa dernière compagne dont un membre de sa famille avait pour prénom « Jésus »
- Toute ressemblance s’arrête ici....
Mais Léo reprends dans une chanson à Bobino en 1969
- « Ils ont voté »
A porter ma vie sur mon dos
J'ai déjà mis cinquante berges
Sans être un saint ni un salaud
Je ne vaux pas le moindre cierge
Marie, maman, voilà ton fils
Qu'on crucifie sur des
affiches
Un doigt de scotch et un gin-fizz
Et
tout le reste je m'en fiche.
Ils ont voté et
puis, après
Par petites touches Léo ironise sur les
prénoms de sa famille et en rajoute.
En cette période 68/69, où il est à la fois reconnu et hué !!
Léo Ferré, harangueur, rebelle, anar, provocateur…
« Y Am un immense provocateur
!! »
- Sur scène : OUI Léo, sûrement !!
- Mais.... avant de monter sur scène ...
- Avant de te jeter en pâture, parce que mal compris,
- Ou encore.... penché sur ta page blanche tu disais :
" Je travaillais comme un cordonnier »
- OUI, et je le pense sincèrement, que :
- En toute connaissance TU « Te crucifiait »